Victime d’un système médical dysfonctionnel, d’une relation surprotectrice avec sa mère et d’une incapacité (auto-induite) à se souvenir de ses expériences passées, Ștefania se trouve, à 31 ans, au bord d’une crise identitaire et existentielle.
Elle entreprend une exploration intérieure en recourant à diverses pratiques corporelles (danse contemporaine, mouvement sensible) ainsi qu’à son propre imaginaire. Le film l’accompagne dans cette quête de soi : une tentative de revivre et de réécrire sa mémoire autobiographique pour faire face à son présent.
Le nom « Nia » fait référence au petit nom par lequel notre héroïne se faisait appeler dans son enfance.